Viande et lait sont des aliments dangereux pour la santé

La consommation excessive de viande et de lait sont des aliments dangereux pour la santé. Ils ouvrent la voie aux maladies dégénératives. 

En effet, la santé des habitants des pays riches se détériore depuis le 20e siècle.

Les terres qui pourraient nourrir les habitants des pays pauvres, sont utilisées pour le bétail d’élevage à nourrir la boulimie de ces produits des pays riches.

hamburger avec viande et fromage


"viande et lait, les aliments dangereux pour la santé"
du  Docteur TAL SCHALLER  et avec la collaboration de Johanne RAZANAMAHAY  

Peu de gens se rendent compte que la viande et le lait représentent, dans les pays occidentaux, un facteur toxique pour la santé aussi important que la cigarette.

Selon l’OMS, un million d’habitants de ce monde meurent chaque année prématurément pour avoir fumé la cigarette.

Pourtant, curieusement, la même prise de conscience ne s’est pas encore faite pour la viande et le lait malgré le fait qu’on devrait mettre sur chaque steak, chaque saucisse, chaque litre de lait et chaque morceau de fromage la même mention que sur les paquets de cigarettes. Une très intéressante étude américaine a tenté de chiffrer le coût de la consommation de viande.

Elle est parvenue à la conclusion que celle-ci entraîne autant de dépenses médicales que le tabagisme, soit environ cinquante milliards de dollars par an.

Cette estimation s’appuie sur le surcoût des maladies favorisées par la consommation de viande, comme l’hypertension, le diabète, les maladies des coronaires et des artères, les cancers, l’obésité et diverses autres affections.

Il est probable que si l’on ajoute au coût de la viande, les produits laitiers, le chiffre de cinquante milliards de dollars pourrait être doublé.

Un tel gaspillage financier, avec tout ce que cela représente comme invalidité, maladies et vies gâchées par la souffrance est tellement hallucinant que nous sommes incapables de le voir. Cela dépasse les limites de notre imagination!
La difficulté, en ce qui concerne la viande et le lait, réside dans la confiance que nous avons accordée aux experts en nutrition, experts qui, hélas, sont depuis quelques décennies pour la plupart à la solde des industriels de l’alimentation.

Vous pensez que la santé consiste à obéir aveuglément aux ordres des médecins et des diététiciens officiels, ne continuez pas votre lecture ! Arrêtez-vous et continuez à vivre comme d’habitude.

Par la suite, votre mode de vie vous conduit malgré tout vers les maladies, vous vous souviendrez alors qu’il y a peut-être un travail de remise en question à faire avec vous-mêmes!

Si vous osez d’emblée vous ouvrir à des idées non conformistes, informez-vous sans attendre d’être malade

Puis ne vous contentez pas d’informations intellectuelles, passez à l’action! Faites des expériences personnelles en testant diverses façons de se nourrir et observez vous-mêmes le genre d’aliments qui vous donnent le maximum de vitalité physique tout en stimulant votre joie de vivre et en dynamisant vos facultés mentales.

Il faut réaliser que l’être humain n’est pas construit pour faire de la viande et des produits animaux la base de son alimentation. S’il est en bonne santé, l’homme peut supporter un apport occasionnel, ou modéré, d’aliments d’origine animale. Mais si cette quantité devient trop importante, un encrassement du corps survient presque inévitablement, ouvrant la voie aux maladies dégénératives. Ces affections ne peuvent être guéries sans une modification des habitudes alimentaires assurant une véritable détoxication de l’organisme et permettant un vrai retour à la santé.

Les protéines animales furent, dans les sociétés occidentales et pendant des siècles, le privilège des classes sociales dirigeantes.

Seuls les rois et les nobles, surchargés de viandes et de laitages, souffraient d’obésité et de goutte !La révolution industrielle permit une élévation du niveau de vie qui déboucha sur la croyance en la vertu d’une alimentation riche en protéines et graisses animales. Du coup les maladies de civilisation sont venues frapper lourdement et la santé des habitants des pays riches n’a cessé de se dégrader depuis le début du vingtième siècle.

Pythagore a écrit : « Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour ».

Les statistiques 1998 de la FAO révèlent que 45 milliards d’animaux ont été tués pour la viande dans le monde.

Dont 290 millions de bovins, 1.1 milliard de porcs, 802 millions de moutons et chèvres, 41 milliards de poulets, canards, oies et dindes ont été tués pour leur viande dans le monde. Pour 6 milliards d’humains, cela fait donc 7 animaux par année et par habitant. Et encore ces chiffres ne comprennent pas les animaux morts avant l’abattage, généralement de maladies, de blessures, de soif ou de suffocation à cause des conditions désastreuses d’élevage ou de transport. Aux Etats-Unis, où le nombre total d’animaux tués pour l’industrie de la viande s’élève à 9.4 milliards, le pourcentage de ces animaux morts avant l’abattoir est évalué à 11% de tous les animaux dits de boucherie, soit 1 milliard d’animaux.

Notre société moderne est follement destructrice et nous saccageons notre planète à un rythme effréné. Au cœur de cette folie se place notre relation avec le peuple animal

Le fait de manger de la viande et des produits laitiers en grandes quantités est l’une des causes principales des maladies de civilisation qui font de la vie de millions d’occidentaux un véritable enfer. De plus, chaque personne qui mange un steak devrait voir devant elle 20 personnes en train de mourir de faim et lui tendre une assiette vide. Car c’est à cause de notre boulimie de viande que des millions d’êtres humains meurent de faim.

Par dessus le marché, l’habitude de manger de la viande est la cause numéro un de la disparition des forêts tropicales qui s’envolent en fumée au rythme hallucinant de quatre terrains de football toutes les cinq secondes !

Le mépris de l’animal a aussi donné naissance à une médecine purement matérialiste, fondée sur la vivisection, dont on voit aujourd’hui les limites et les dangers.

Depuis 50 ans,  Docteur TAL SCHALLER se passionne pour tout ce qui touche la santé et la nutrition humaine.

Ses études

Il a étudié à fond toutes les écoles diététiques, lu des milliers et des milliers d’ouvrages, rencontré les plus grands spécialistes et chercheurs dans ce domaine, tant dans le domaine de la diététique quantitative traditionnelle que dans celui de la diététique qualitative qui, peu à peu, va supplanter les idées sur lesquelles se fondent les industriels et les gouvernants.

Ses expériences

Il a expérimenté sur lui-même et avec les malades qui sont venus chercher conseil auprès de lui les ressources de régimes alimentaires de toutes sortes.

Ses voyages

Il a voyagé aux quatre coins de la planète pour étudier les rapports entre les habitudes alimentaires et l’état de santé des populations, étudié dans l’histoire comment les civilisations se sont développées quand les gens mangeaient sainement et comment elles ont disparu lorsque l’alimentation ne fournissait plus les éléments essentiels pour que tous maintiennent leur vitalité et leur immunité.

Il a aussi étudié comment mangent ces «peuples chamaniques » ou « peuples premiers » qui ont su garder un mode de vie qui les met à l’abri des maladies et des conflits.

viande et lait, les aliments dangereux pour la santé

Comme le dit Docteur Tal Schaller, commencez par diminuer les quantités.

Changez vos habitudes progressivement, pour ne pas vivre dans la frustration et reprendre vos habitudes. 

Dans les pays où il y a des centenaires, la viande et les produits laitiers sont absents ou en faible quantité.